Languedoc-Roussillon, le vendredi 29 novembre 2013.
Face à une société fondée aujourd'hui sur le déni du manque, où les notions de marché et de contrôle régissent les échanges, qu’en est-il de nos services ?
Devons nous céder à la tentation de tout combler, à la volonté d'une réponse immédiate, à réduire l'acte éducatif à une simple action, une prestation? De la présence à l’omnipotence. A l'image du jeu du taquin, pour que cela fonctionne, ne faut -il pas une case vide, un trou, du manque.